Affichage des articles dont le libellé est philosophie. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est philosophie. Afficher tous les articles

lundi, juin 11, 2007

That Is Not My Problem

« En fin de compte, la question de l’existence ou de la non-existence de Dieu est plutôt un problème à Lui qu’un problème à moi. »*

*Encore une fois, moi —avec ma mauvaise habitude et mon entière malséance— qui me cite moi-même… pourtant il fallait le dire.




Ciudad de México 20070611 1155 - 25 Sivan 5767

lundi, décembre 25, 2006

Der Stern der Erlösung


« En la medianoche del mundo [la medianoche del día del Hombre] comienza la aurora del día de Dios ».

Miguel GARCÍA-BARÓ

(“La figura de la Estrella. Una perspectiva global para la lectura de Rosenzweig”, dans Franz ROSENZWEIG, La Estrella de la Redención (1921), édition et traduction à l’espagnol de Miguel GARCÍA-BARÓ, Salamanca, Sígueme, 1997, p.34.)


Cela fait déjà 120 ans, exactement, de la naissance de Franz Rosenzweig à Kassel, Allemagne —un autre juif, un autre 25 décembre, ailleurs. Il mourut un 10 décembre à 43 ans, quelque peu de jours avant son 44e anniversaire. Ainsi, il ne vécut ni la Seconde guerre ni, même pas, la chute de la République de Weimar. Pour une fois, cependant, je ne veux pas parler de la mort, mais au contraire, fêter la naissance du philosophe qui s’est donné la tâche de discuter avec Hegel et rectifier le cours d’une histoire de la philosophie qui, comme il disait lui-même, commence en « Ionie et termine à Iéna ».

L’Étoile de la Rédemption ouvre la porte de la nouvelle phénoménologie et de la nouvelle herméneutique —comme ça, au-delà d’une dispute sans fondements d’importance—, et apporte les bases de la réflexion contemporaine sur l’exil, l’identité, l’éthique, et la différence (entre autres).

Ce 25 décembre, humblement —mais pas assez, pas encore—, à la mémoire de Franz Rosenzweig !




Ciudad de México 20061225 1351 - 4 Tevet 5767

vendredi, septembre 15, 2006

Introduction... pour moi et pour les autres

Voici un essai sérieux de renouvellement, de reconstruction. Ce n’est pas sérieux à cause du ton, du sujet ou du lexique. Ce n’est sérieux que parce qu’il s’agit d’une décision prise et irrévocable. Ici sérieux veut dire engagé (“I am tired of cowards who say what they want and then they can’t handdle” et le premier inclut dans la liste c’est moi-même). Une personne à moi très très chère a commencé un “carnet de bord électronique” —exactement comme celui-ci— en guise de thérapie dans un moment de choc dans sa vie. Moi, je le fais comme “journal-à-discussion” pour essayer de retrouver la direction du chemin et, en même temps, de retracer le chemin de la direction. Les gens de mon entourage —ceux qu’y sont présents, ceux qui viendront ou, même, reviendront— trouveront par différents moyens leurs chemins vers la fugace adresse électronique que je m’ouvre avec ces mots. Il s’agit donc d’un espace public. Mais je fais déjà des prédictions pour un futur que, bien qu’il puisse être immédiat, reste encore à venir. Je fais donc, et respecte, leur place propre:

Reconnaissant le caractère public de cet espace, rien ici n’est privé, rien que je puisse dire au moins. Cependant, je revendique l’autorie —avec ce de bon et de mauvais qui vient avec— de mes propres paroles —et jamais des paroles des autres—... tout en essayant d’avoir en tête ce que public veut dire. En conséquence tout ce que je dirai ici sera vrai mais, évidemment, ce ne sera jamais toute la vérité; puisque je réserve pour moi le droit au privé. Je donne ces mots en témoignage d’une crise, personnelle et collective, en bonne foi et sans aucune valeur probatoire, sauf celle que chacun, en conscience, voudra en reconnaître. À certains, et certains de mes amis, cette page même et le “attempt” de renouvellement, en soi, peuvent sembler prétentieux. À ces amis je dis: “You know it — I cannot pretend — I am pretentious. Aux autres, je ne dis rien.

Le nom de la page est, en effet, une commémoration de Roland Barthes et d’un de ses ouvrages, ce titre-ci est aussi beaucoup plus que ça. Je me place aujourd’hui au Degré zéro, pour tout commencer. Je ne sais même pas taper à la machine. Je commence à peine à apprendre, comme tout. J’aurais pu aussi appeler la page “Apprendre à vivre enfin” mais, sans doute, ce titre devra attendre le futur. Au Degré zéro il n’y a pas de différentiation encore ou, au moins, toute différentiation est potentielle. Il s’agit donc de politique, de philosophie, de littérature, d’histoire... de psychanalyse si je réussis à y arriver. Et d’autres choses —j’espère— que je ne distingue pas encore. Cette fois, je ne propose pas le degré zéro de l’écriture, mais l’écriture comme degré zéro: Degré 0 de la politique, d° 0 de la littérature, d° Z de la philosophie, de l’histoire et de la psychanalyse. de moi-même, sans même pas me proposer à le dépasser, aujourd’hui ou demain. Si jamais vous ne comprenez, si jamais ça vous intéresse, demandez. Nous savons, fatalement, qui sont ceux qui nous aiment et comment nous aiment-ils.

JE N’ATTENDS PAS DE LECTEUR, IL NE VIENT PAS.

MAIS L’INTERLOCUTEUR ARRIVERA.

Je m’excuse d’avance des fautes d’orthographe, j’en commettrai davantage. La langue de cette page ne sera pas le français en exclusivité, je me permettrai de changer de langue selon les besoins de l’écriture, conscient des limitations que ce fait peut entraîner à la lecture. Cette fois-ci (mais pas nécessairement toutes les fois à venir) les paroles des autres sont, souvent, entre guillemets.

Ciudad de México, 20060914 2057