dimanche, septembre 24, 2006

¡Feliz año nuevo!

El ocaso del viernes 22 de septiembre de 2006 --del calendario gregoriano-- coincidió con el inicio del año 5767, el día primero del mes de Tishri.

También el día de ayer, 1° de Tishri --y ya 23 de septiembre--, registramos el equinoccio de otoño y el final del verano con él. Hoy es 2 de Tishri de 5767, segundo día de Rosh Hashanah (domingo 24 de septiembre de 2006).

Mínimo estoy en deuda de una entrada y varios comentarios sobre los "festejos" del 15 y 16 de septiembre en México, varios comentarios sobre la difícil (y momentáneamente semicongelada) vida política del país, y varias fotografías que no tengo idea de cómo postear... además de alguna que otra reflexión sobre el budismo chan --que tal vez decida guardar para mejores ocasiones. Ya dedicaré alguna foto de los fuegos artíficiales de la noche del 15 de septiembre en el Zócalo a celebrar Rosh Hashanah, hors-date. Por lo pronto, no quería dejar pasar la fecha sin desear-nos un felíz año nuevo.


¡El año próximo en Jerusalem!

Shana Tova!


Ciudad de México, 20060924 1440 - 2 Tishri 5767

vendredi, septembre 15, 2006

Introduction... pour moi et pour les autres

Voici un essai sérieux de renouvellement, de reconstruction. Ce n’est pas sérieux à cause du ton, du sujet ou du lexique. Ce n’est sérieux que parce qu’il s’agit d’une décision prise et irrévocable. Ici sérieux veut dire engagé (“I am tired of cowards who say what they want and then they can’t handdle” et le premier inclut dans la liste c’est moi-même). Une personne à moi très très chère a commencé un “carnet de bord électronique” —exactement comme celui-ci— en guise de thérapie dans un moment de choc dans sa vie. Moi, je le fais comme “journal-à-discussion” pour essayer de retrouver la direction du chemin et, en même temps, de retracer le chemin de la direction. Les gens de mon entourage —ceux qu’y sont présents, ceux qui viendront ou, même, reviendront— trouveront par différents moyens leurs chemins vers la fugace adresse électronique que je m’ouvre avec ces mots. Il s’agit donc d’un espace public. Mais je fais déjà des prédictions pour un futur que, bien qu’il puisse être immédiat, reste encore à venir. Je fais donc, et respecte, leur place propre:

Reconnaissant le caractère public de cet espace, rien ici n’est privé, rien que je puisse dire au moins. Cependant, je revendique l’autorie —avec ce de bon et de mauvais qui vient avec— de mes propres paroles —et jamais des paroles des autres—... tout en essayant d’avoir en tête ce que public veut dire. En conséquence tout ce que je dirai ici sera vrai mais, évidemment, ce ne sera jamais toute la vérité; puisque je réserve pour moi le droit au privé. Je donne ces mots en témoignage d’une crise, personnelle et collective, en bonne foi et sans aucune valeur probatoire, sauf celle que chacun, en conscience, voudra en reconnaître. À certains, et certains de mes amis, cette page même et le “attempt” de renouvellement, en soi, peuvent sembler prétentieux. À ces amis je dis: “You know it — I cannot pretend — I am pretentious. Aux autres, je ne dis rien.

Le nom de la page est, en effet, une commémoration de Roland Barthes et d’un de ses ouvrages, ce titre-ci est aussi beaucoup plus que ça. Je me place aujourd’hui au Degré zéro, pour tout commencer. Je ne sais même pas taper à la machine. Je commence à peine à apprendre, comme tout. J’aurais pu aussi appeler la page “Apprendre à vivre enfin” mais, sans doute, ce titre devra attendre le futur. Au Degré zéro il n’y a pas de différentiation encore ou, au moins, toute différentiation est potentielle. Il s’agit donc de politique, de philosophie, de littérature, d’histoire... de psychanalyse si je réussis à y arriver. Et d’autres choses —j’espère— que je ne distingue pas encore. Cette fois, je ne propose pas le degré zéro de l’écriture, mais l’écriture comme degré zéro: Degré 0 de la politique, d° 0 de la littérature, d° Z de la philosophie, de l’histoire et de la psychanalyse. de moi-même, sans même pas me proposer à le dépasser, aujourd’hui ou demain. Si jamais vous ne comprenez, si jamais ça vous intéresse, demandez. Nous savons, fatalement, qui sont ceux qui nous aiment et comment nous aiment-ils.

JE N’ATTENDS PAS DE LECTEUR, IL NE VIENT PAS.

MAIS L’INTERLOCUTEUR ARRIVERA.

Je m’excuse d’avance des fautes d’orthographe, j’en commettrai davantage. La langue de cette page ne sera pas le français en exclusivité, je me permettrai de changer de langue selon les besoins de l’écriture, conscient des limitations que ce fait peut entraîner à la lecture. Cette fois-ci (mais pas nécessairement toutes les fois à venir) les paroles des autres sont, souvent, entre guillemets.

Ciudad de México, 20060914 2057